Quand quelques voix se lèvent pour crier “Haro sur le baudet”, au sujet des catastrophes de tous genres qui menacent nos sociétés, on s’empresse d’inventer un “nouvel ordre mondial”, pire que le premier.
En effet, l’œil perspicace ne peut s’empêcher de fleurer les signes de plus en plus évidents de cette conspiration extrêmement subtile de nombre de décideurs politiques, économiques, religieux pour la mise en place de ce nouvel ordre mondial. S’appuyant sur une Technologie à la fois fascinante et effrayante, ce Projet, connu sous le titre de « BLUE BEAM », prend des proportions quasi irréversibles et n’épargne aucune des balises minutieusement édifiées par des sagesses éprouvées, pour la sauvegarde du genre humain.
Des journalistes extrêmement courageux, des scientistes respectueux de leur conscience humaine, des dirigeants soucieux de la dignité de leurs congénères, ne cessent de dénoncer cet agenda monstrueux dont les phases préliminaires s’installent solidement dans le quotidien de notre monde contemporain.
- Comment ne pas constater le mépris et l’opposition systématique de certains ténors d’une certaine pensée philosophique et théologique, établie à l’encontre des valeurs et des orientations civiques et morales qui ont traversé l’épreuve du temps.
- La remise en question suivie du rejet sans condition des convictions et traditions sociales et religieuses qui ont constitué le socle et la référence pour toute société équilibrée, apparait de nos jours comme une posture avant-gardiste.
- Certaines découvertes archéologiques sont utilisées indûment comme arguments indubitables pour le démantèlement d’édifices intellectuels et de constructions cosmogoniques savamment établis depuis des siècles.
- Le monde d’aujourd’hui assiste impuissant à l’explosion de crises sociales et politiques successives, visiblement créées de toutes pièces, avec des conséquences catastrophiques en destructions matérielles, culturelles incalculables et en de nombreuses pertes en vies humaines.
- La mise à exécution de l’agenda conçue pour ce Nouvel Ordre Mondial ne recule devant rien et fait montre d’une maîtrise extraordinaire des dernières trouvailles électroniques. Avec la modification du champ magnétique terrestre, provoquée à dessein, les agents responsables de ce fameux Projet « Blue Beam » travaillent assidument à la diminution subtile des populations mondiales et à la réduction des plus résistants à un troupeau de soumis, de robots programmés dans tous les compartiments de leurs entités organiques.
- Le suivi de cette programmation est assuré par un système de traçabilité très efficace grâce aux puces électroniques, aux radio-étiquettes savamment plantées dans les objets à surveiller et sous la peau des individus programmés. L’intelligence, la conscience, la volonté, le jugement, tout l’être, dans ses conditions, est désormais à la merci de cette nouvelle dictature. Des messages subliminaux de tendance consumériste (surconsommation) émis régulièrement à travers ces relais électroniques et grâce aux incomparables réseaux sociaux, tels Face Book, Twitter, YouTube, Google, Yahoo, Tik Tok, ces messages psychotoxiques empoisonnent nos âmes et rétablissent la soumission, si besoin est. Déjà, la fiche électronique de chaque citoyen de ce monde inique et uniforme est disponible et utilisable par tous les circuits du Réseau.
- Ce n’est plus du cinéma. Nous ne sommes plus dans le domaine de la Science-fiction. Au contraire, Cinéma et Science-fiction deviennent, en l’occurrence, des éléments préparatoires à l’acceptation en douceur des terribles changements minutieusement planifiés pour l’avènement de ce Nouvel Ordre Mondial. Les discours enflammés des ténors de ces changements proclament à qui mieux mieux ce sublime avènement. L’avènement du Grand Soir. Le Jour de la Délivrance. L’acquisition du Bonheur parfait.
- Ces nouveaux saluts sont à portée de la main; il suffit de croire aux « Grands Frères Bienveillants », aux "Généreux Milliardaires’’ et de suivre leurs consignes. A combien de drames devons–nous assister encore, tels :
- « les mass shootings » en Amérique du Nord;
- « les bomb suicides» en Proche et Moyen-Orient;
- « les drone errors » lancés par les puissances militaires coalisées, causant l’élimination d’adversaires gênants et le massacre de civils innocents,
- «les djihads », guerre sainte de l’Organisation de l’État islamique, avec des assassinats crapuleux, et des attentats meurtriers,
- « les génocides répétés » en Afrique,
- « les Intifada, » escalade des meurtres dans l’interminable conflit Israélo-Palestinien,
- l’insécurité programmée avec la prolifération des gangs criminels en vue de l’effondrement de l’État haïtien !
- Combien de drames à enregistrer encore avant que nous comprenions ce jeu macabre actuellement en cours à travers le monde? Comment arrêter ce cercle vicieux de la violence, du cynisme et de l'indécense.
- Le narcissisme exacerbé qui ressort de cette nouvelle philosophie du Bonheur "promotionnée" par les tenants de ce Nouvel Ordre, conduit les gens, même parmi les plus avertis, à des comportements insensés. Être vedette à n’importe quel prix! Être le plus fort, le plus performant, le plus riche, le plus rusé, le plus sexy! Voilà les modèles à suivre proposés aujourd’hui à grand renfort de propagande.
- Hélas, on est piégé!
Définitivement, le mot n’est pas trop fort et personne digne de foi ne saurait nier l’évidence d’une telle constatation. Le piège dont il est question est visible de partout et remonte de si loin que la grande majorité des “piégés” se résigne à l’accepter comme un fait normal, et parfois même comme un élément d'origine divine.
En effet, il est surprenant de voir avec quelle légèreté, avec quelle naïveté, beaucoup d’entre les humains, en dépit de toutes les informations disponibles, applaudissent à tour de bras les élucubrations de certains de ces « brasseurs d’affaires », de nos hommes politiques et religieux. Ils ne se donnent même pas la peine de se demander quelles sont les réelles motivations de ces prêcheurs à peau d’agneau. Aussi, il n’est vraiment pas nécessaire pour ces naïfs de s’étonner quand par mégarde les oreilles du lapin sortent du chapeau magique.
Des mensonges éhontés, des malversations à visière levée, des combinaisons à l’allure “mafiosique” sont très souvent enregistrés dans les milieux sociopolitiques internes aussi bien que dans les relations internationales. En dépit des grandes institutions mises en place à la suite des grands conflits mondiaux, justement pour épargner l’humanité de ces absurdités meurtrières, les hommes politiques refusent d’entendre raison et recommencent régulièrement leurs jeux macabres. « Ils traitent des humains comme des chiens, et s’étonnent que ceux-ci se mettent à les mordre », dénonce le philosophe français Michel Onfray.
Dans ces conditions, nous assistons impuissants à l’escalade de cette violence qui s’inscrit dans une spirale diabolique de vengeance après vengeance, avec un refus systématique d’aller au fond des choses, à la racine du mal, aux causes réelles de la déflagration mondiale.
Il ne sert pas à grand ’chose, l’histoire nous en donne la preuve, que des dirigeants politiques, se souciant davantage de leurs perspectives électoralistes et de leurs privilèges commerciaux avec les États, se lancent tête baissée dans des guerres sans grandeur, et sans issues vraiment profitables pour leurs collectivités.
Cette politique à courte vue, aussi bien nationale qu’internationale, est souvent truffée de combines et de combinaisons indécentes, de démarches spectaculaires sans bénéfices réels, et ce, à travers une diplomatie de mauvais aloi, alimentée par l’émoi et par l’évocation de fausses indignations face aux révoltes des populations exploitées. La meilleure justification que les exploiteurs trouvent à cette violence institutionnalisée est de déclarer coupables leurs victimes. Les « croisades », les invasions, les purges, les interventions étrangères, les sauvageries policières se font le plus souvent au nom du bien, de la civilisation, de la démocratie, pour combattre le mal et rétablir l’ordre contre les révoltés, les païens et les sauvages.
“La Politique, déclare-t ’on, n’est pas un jeu pour les enfants de chœur.” On finit par admettre que la victoire appartient aux plus forts et aux plus rusés. Le mensonge, les tractations de toutes sortes, « les deals sans vergogne » semblent faire partie inhérente de l’univers politique. Le code de l’honneur, le respect de la parole donnée, le rejet de la politique ''deux poids-deux mesures'', la recherche du bien commun, la poursuite de l’intérêt collectif, le souci du bien-être réel de l’humain semblent devenir de plus en plus des préoccupations dépassées.
Les approches humanitaires et les considérations caritatives ne font partie des agendas politiques que pour répondre à la nécessité d’un certain décorum, surtout dans le cadre des promesses électorales et la mise en place de programmes de solidarité communautaire apparente.
Les partis politiques installés, les grandes associations professionnelles reconnues, les mouvements d’émancipation de la femme avec pignon sur rue, les organisations caritatives, toutes ces entités absolument nécessaires dans une recherche légitime de bien-être pour tous, finissent souvent par oublier leurs généreuses motivations premières, pour se conformer aux exigences de « l’ordre établi » et aux intérêts personnels de leurs dirigeants.
Il est déplorable, en effet, que des Institutions sorties des matrices de la sagesse humaine universelle, jouissant en général d’une certaine notoriété, des Institutions telles « l’Organisation des Nations-Unies », « la Convention de Genève », « la Croix Rouge Internationale », « l’Organisation des États américains », « l’Union Européenne » deviennent, avec les circonstances et l’incongruité des décideurs mondiaux, des « boîtes de Pandore » où s’engloutit toute l’espérance humaine.
En effet, au regard de l’histoire dont le sens est perçu selon des critères moraux et intellectuels avérés, l’échec de la violence est incontestable ; elle n’a fécondé qu’assassinats et destructions de toutes sortes. Elle a infiltré toutes les démarches humaines, même les plus magnanimes, au point que les grands courants philosophiques et religieux se retrouvent souvent bien empêtrés dans des dérives étonnantes, bien loin de leur bienveillance et générosité originelles.
Aussi, il est indéniable que la porte de sortie de cette spirale de violence, de cet imbroglio inextricable, de ce piège mortel considéré comme faisant partie inhérente à la nature humaine, la porte de sortie ne saurait se trouver à l’intérieur de ce dilemme. D’où la nécessité de faire référence à une vision transcendantale, à une démarche essentiellement spirituelle telle que proposée par l’OSHAM, l’Organisation Sauver Haïti-Sauver le Monde, à travers son option préférentielle de salut.
(Extraits revus et complétés du Livre « REDÉFINIR LE VIVRE ENSEMBLE »)
GTG/ février 2024