Ecrit pour Info Gazette Médical

5 Août 2024

                                                            La Mélanine

      La vie dans le cosmos est la plus belle ruse de la lumière (David Elbaz)

    Le noir est le plus beau visage de la lumière excepté que nous ne le voyons pas (Nicolas Tesla).

Un savoir qui n’avance pas est un savoir qui recule, dit un vieil adage. 

On n‘est plus au temps où l’ignorance usurpe le piédestal et peut y trôner de génération en génération parce que payante. Par l’intimidation, les menaces et la cruauté, elle pouvait se moquer de la vérité, désinformer, ostraciser, torturer, brûler vif, déposséder et exiler. 

Cet abus n’est plus, les temps sont révolus grâce à la révolution, d’abord du transistor et, aujourd’hui, de l’internet. Il y a aussi quelque chose de nouveau : les gens, pour la plupart des sommités, veulent partager et ils le font avec une rare générosité et compétence. Certains disent déjà qu’aujourd’hui, l’ignorance est presqu’un choix. On apprend ou tire au clair sur place, en quelques mois, ce qui, naguère, nécessitait de longues correspondances, enrôlement dans des universités trop sélectifs parfois, déplacements, long séjour à l’hôtel, loin de chez soi, pour assister à des conventions interrompues par des “recess/ break” pas toujours opportuns parce que non sollicités par soi-même. 

Il y a aussi le luxe de pouvoir vérifier les informations, assister à des débats, sauter d’un site web à l’autre et obtenir les points-de-vue contraires en un temps record. Les privilèges ne sont plus restreints comme ils l’étaient dans le passé. Et quand on a tout cela sous la lanterne d’expérience personnelle, pour avoir étudié, pratiqué, enseigné, “creusé, fouillé, bêché”, comme dirait l’auteur de la fable “Le Laboureur et Ses Enfants, pour quelque demi-siècle, on peut sur invitation, à côté des grandes idées débattues par les autres, venir placer quelques mots. C’est ce que je viens faire en écrivant sur la Mélanine.

J’avance sur la pointe des pieds, tenant compte que parler de la Mélanine peut agacer. Je risque de déranger ceux-là qui voient dans toute démarche pour établir la vérité sur cette biomolécule comme ouvrir une boîte de Pandore, un risque certain de réveiller nos vieux démons. D’aucuns disent : il faut se taire car tout le monde connait la vérité ; la question de couleur ne compte plus aujourd‘hui, c’est peut-être un faux problème qu’il vaut mieux cacher sous le tapis. Un peu comme fut la conversation entre certain premier ministre et le professeur Shlomo Sand de l’Université de Tel Aviv : « Ce que vous dites est vrai, mais compte tenu des problèmes que nous avons aujourd’hui, pourquoi le dire maintenant ? »

Pourtant, un devoir de correction de la littérature, de l’histoire et des narratifs religieux s’impose que seule la Science humble et impartiale, et une résolution d’articuler la vérité de façon constructive peuvent offrir à la conscience collective, au subconscient individuel une réhabilitation aujourd’hui plus qu’indispensable.

Des nostalgiques regrettent les quelques changements arrachés de haute lutte par les progrès scientifiques et socio-politiques, et appellent de tout leur vœu au retour au statu quo ante. Certains gouverneurs et autres personnages politiques empêchent l’enseignement de la vérité dans les écoles. Des intellectuels de renom proposent même un retour en force à l’orthodoxie rigide et injuste du passé, pendant que les tensions entre gens à peau claire et les mélanodermes, l’entêtement autodestructive, génocidaire de la suprématie blanche, sournoise ou déclarée, l’auto-promotion à l’exceptionnalisme des uns, le grignotant complexe d’infériorité chez les autres, continuent, à travers la mémoire cellulaire, de compliquer les relations et comportements et font entrevoir un monde sans lendemain.

Il y a aussi le problème de la logique des simples. On se rappellera l’ivrogne de Cuvillier en classe de Philosophie. Quelqu’un, croyant le convaincre que l’alcool tue, jeta dans son verre un ver vivant qui meurt presque instantanément. Que conclut le fervent de la liqueur forte ? “Vous m’avez tout simplement démontré, que si je bois de l’alcool, je n’aurai pas de vers”. 

Ainsi, pendant longtemps, certains, témoins que la matière organique, brulée avec peu d’oxygène, se carbonise, que l’incendie des forêts change les branches et les troncs en charbon de bois, s’empressèrent de conclure que le noir est un résidu, le résultat d’un malheur ou d’un châtiment. Plus loin, même le savant ne dira pas mieux. La neuromélanine, selon lui, n’est qu’un sous-produit qui se retrouve partout où on a de fortes concentrations de catécholamines ; un déchet du mécanisme de l’auto-oxydation (Bar 1983). En effet, ce que les yeux voient est souvent en rapport avec le contenu actuel de la conscience. Et l’anglais de dire: « If it is not present in the mind, the eyes won’t see it”.

Le charbon est de la matière organique pyrolisée, c’est-à-dire, déshydratée, débarrassée de ses matières volatiles. Structurellement, une abondance de carbone mélangé à quelque résidu de fer et du soufre. Plus c’est noir, plus c’est capable d’absorber la lumière. L'atome de carbone est l'un des plus abondants dans l'univers en quatrième position après l’hydrogène, l’hélium et l’oxygène.  Sans le carbone il n'y a pas de chimie organique i.e. pas de vie, puisque c’est la charpente, la colle (the crazy glue) de toutes les liaisons pour former les molécules, les acides aminés, les protéines. Quel bienfait que ce corps chimique soit aussi stable et résilient ! Quelle belle ruse de la Lumière, dirait Nicolas Tesla.

Curieusement, c’est à un chimiste Français Magendie que revient l’honneur d’avoir le premier isolé la Mélanine à partir de la très comestible encre de pieuvre en 1826.

Benedict Morel décrivit le premier pigment contenant la Mélanine en 1837, et Heinrich Will put l’extraire des cheveux humains en 1857.

Nous devons la première structure chimique à Hermann Emil Fisher (1911). Puis R. H. Thompson la confirma en 1958.

C’est seulement tout récemment que d’autres études sont venues mettre en lumière la biosynthèse et les fonctions complexes de la Mélanine.

Ainsi, que de syllogismes, de théories imbéciles, d’errements socio-politiques, d’injustices et crimes contre l’humanité ont eu cours ! Parmi ces crimes, on peut inclure, sans crainte de se tromper, des gifles à la démarche scientifique elle-même, particulièrement, la Sociologie, l’anthropologie et la Médecine. Et il faut se demander qu’adviendrait-il si en 1958 Thomson n’avait pas sorti le projecteur des oubliettes, si Cheik Anta Diop n’avait gagné son pari contre la thèse euro centrique en 1954, établissant sans appel que les pharaons de l’Ancienne Égypte étaient noirs ; si Antênor Firmin ne l’avait fermée à Arthur Gobineau dès 1885 ?

Depuis ce geste hardi, voilà qui s’impose à l’évidence :

  1. La mélanine, dans sa forme idéale, est noire et cette noirceur n’est pas que dans la peau, les cheveux, les poils, la pupille et la rétine ; elle est, sous la forme de Neuromélanine, dans tout le corps et, particulièrement, dans le système nerveux. Elle monte la garde autour et dans le tube digestif, c’est-à-dire autour de l’appareil digestive et dans l’intimité même de la muqueuse intestinale.
  2. C’est particulièrement à cause de cette noirceur qu’elle absorbe « les énergies nocives » dans la mesure où tout est vraiment énergie.
  3. Dans le système nerveux, la Mélanine donne la matière grise, et elle est dans la matière blanche par Proxi. Elle détoxifie, isole fils et câbles et, ce faisant, assure la conductivité électrique, pour ne dire que cela. Mieux encore, elle se concentre, ou monte la vigie partout où il est question de neurorécepteurs et d’hormones, sans confusion, ni exclusives. Et, pour comble, elle se concentre dans l’oreille interne, garante de l’orientation, de l’équilibre, du sens de l’harmonie, du rythme, bref, de la belle danse et de la bonne musique.
  4. La Mélanine intervient admirablement dans les activités de notre système immunitaire. Elle alerte, dénonce, dirige, tue ou tient en respect, depuis la peau et les poils, jusque dans les humeurs et, généreusement, autour ou dans ces orifices qui nous rendent si vulnérables, des bactéries potentiellement dangereuses. Des virus et des champignons aussi.
  5. Finalement, l’autopilotage apparent du conceptus, de l’embryon in utero semble être de la sphère de compétence de l’éternelle Mélanine. L’hypothèse n’est pas impertinente.

La peau, les yeux, les cheveux noir foncé, les cils, les poils pubiens et ailleurs c’est de la Mélanine. Dans la hiérarchie des nuances, elle est l’Eumélanine, i.e. la vraie. Son rôle : nous permet d’œuvrer plus près du soleil, protégés contre ses effets nocifs, particulièrement des rayons ultraviolets, et peut-être, du reste de la bande électromagnétique, avec ses rayons X et rayons Gamma. 

La preuve que la Mélanine ait des propriétés anti-radioactives semble irréfutable après le désastre de Tchernobyl (26 avril 1986) où des champignons, connus pour leur forte concentration en Mélanine ont admirablement survécu.

Synthétisée principalement par des cellules appelées mélanocytes, présentes dans la peau, les méninges, les plexus choroïdes, et l’appareil digestif, ce pigment sombre absorbe l’énergie et la rediffuse pour empêcher la dégradation de l’ADN, par conséquent, le cancer. Il est aussi constaté qu’il ralentit le vieillissement, au moins de la peau. Déjà, il est intéressant de remarquer que la production de cette Eumélanine est prise en charge, le plus sérieux du monde, par la glande pituitaire grâce au MSH (Melanocyte Stimulating Hormone), laquelle, au niveau de ce chef d’orchestre, partage le même ancêtre que l’ACTH i.e. le précurseur POMC (Proopiomelanocortine). Ceci pour convaincre le lecteur, par anticipation, qu’il ne devrait pas être surprenant qu’une surproduction de Mélanine cutanée accompagne la maladie d’Addison. Quand la Mélanine cutanée est de nuance claire à cause d’une légère différence d’enzyme de conversion (TYRP1 vs. TYRP2), elle est appelée Phéo ou Phaeomelanine.

Que vaut la noirceur de la Mélanine ?

Et voilà la vérité qui dérange. 

Nous chérissons tous des illusions d’optique. Dire, par exemple, qu’un livre est rouge, c’est claironner un mensonge. Un livre rouge ou vert est tout excepté rouge ou vert. L’objet ainsi désigné pourtant rejette avec emphase la couleur qu’on le nomme. Il le fait avec tant d’aplomb et constance que nos yeux qui captent et notre cerveau qui décode, nomme le livre pour ce qu’il n’est point. Et alors, plus d’effort intellectuel chez personne pour dire la vérité.

Le noir, en matière de lumières, les absorbent toutes. Où et qui qu’elle soit : Obscurité, bois d’ébène, Eumélanine, Trou Noir, Noir du cosmos (Black Matter), Charbon de bois ? Peut-être une ruse de l’Énergie ! Médecin à part entière, l’orthodoxie médicale à laquelle je souscris, m’interdit l’affirmatif de façon péremptoire. Plus de recherche s’impose et, en attendant, l’humilité est un devoir. Nicolas Tesla, après avoir dit : « l’électricité est partout » aurait ajouté : « tout est lumière ». Alors, soyons patients ; attendons les prodiges de la physique quantique. 

En attendant, les témoignages sont légion que partout où elle se retrouve, la mélanine absorbe lumière et détritus, déchets toxiques et débris microbiens. Elle assainit tel un omniprésent service d’hygiène publique. Partout dans le corps vivant, elle nettoie, assouplit, entretient et plus encore, elle restaure la fonctionnalité.

Maintenant, la Neuromélanine.

Si l’Eumélanine est plus abondante, ce n’est pas parce qu’elle est moins ou plus importante mais parce que présente dans le plus gros organe du corps vivant, si immense que certains dermatologues en parlent comme de « l’appareil cutané » (Boyer). La Neuromélanine prend son siège à l’intérieur du corps et accompagne partout le système nerveux qu’elle protège et où elle amplifie, comme dans un ordinateur, la rapidité des échanges d’information et, de ce fait, entretient la fonction cognitive du cerveau. La matière grise, c’est de la mélanine mélangée avec de la lipofuscine et de l’hémoglobine. La substance blanche avec sa myéline est de la famille car, la cellule originelle, et pour la myéline et pour la mélanine, vient de la crète neurale. C’est un constat qui établit l’importance extraordinaire de la peau qui, chez la cellule vivante, est à la fois enveloppe et cerveau. La peau et ses accessoires sont, comme la membrane cellulaire avec ses récepteurs, une station de surveillance et d’échanges à nulle autre pareille. Pas étonnant, puisque à l’état embryonnaire, nous n’étions que trois minables couches : endoderme, mésoderme, ectoderme ; et de l’ectoderme, exclusivement, viennent la peau et le système nerveux. Système nerveux central et périphérique. 

Ainsi, il n’y aura pas d’organe interne (cœur, foie, tube digestif, poumons, utérus, cerveau), système neuroendocrinien (épiphyse, hypophyse, thyroïde, glandes surrénales, ovaires, testicules) qui puisse se vanter de faire long feu sans la Mélanine. A bon entendeur salut !

Facile alors de comprendre que Dopamine, Sérotonine, Norépinephrine, Mélatonine, Prolactine, Cortisol etc. et tous les autres stéroïdes, jouent sous la baguette magique d’un même chef d’orchestre : la Mélanine.

Quel est le narratif indubitable ?

L’intelligente et altruiste petite cellule, dès les premiers vagissements, choisit l’École de Pharmacie Naturelle ». Elle se consacre et produit une biomolécule mariée à la lumière. Elle aspire, détoxifie, libère l’espace utile, cible, neutralise ou tue les intrus (bactéries, virus, champignons), les montre du doigt aux soldats préposés à notre système de défense. Quant au reste, elle les tient en échec, pourvu qu’il ne s’avise d’être trouble-fête mais accepte d’être une flore plutôt utile, en coexistence pacifique avec tout notre être (microbiome).

Mieux, la mélanine s’extrait (il faut peser ici sur l’accidentellement pronominal) de la synthèse même des produits avec lesquels elle interagit, à coté de provenir de cellules spécialisés (mélanocytes). Exemple : de la synthèse de la Dopamine et de la Sérotonine quoique la première se construise à partir de la Tyrosine, la deuxième du Tryptophane (voie DOPA et voie Indole, respectivement). Par cette technologie toute naturelle, on a une pharmacopée officielle qui fait, par exemple, de la glande pinéale un prestidigitateur (ou, pourquoi pas ? un véritable magicien) de la haute triture.

Enchainant sur la contribution de la mélanine à notre système de défense, voici les acquis jusqu’à nouvel ordre :

La mélanine est anti-inflammatoire.

Elle a des vertus anti-oxydatives.

Elle est antibactérienne contre le Staphylococcus aureus, le Klebsiella pneumoniae, l’Escherichia coli, le Bacillus subtilis, le Pseudomonas aeruginosa etc.

Antivirale contre l’Herpès simplex (HSV), l’Human Immunodéficience (HIV), l’Influenza, le Syncytiovirus respiratoire.

Anti fongique : C. albicans, Aspergillus niger, Fusarium oxyporum, Penicillium chrysogenum.

Il faudrait ajouter ici un fait intéressant, pas nécessairement à la louange de la Mélanine, mais, là encore en hommage, à l’intelligence de l’infiniment petit : certains microbes, eux aussi, ont l’option de synthétiser la Mélanine et, ce faisant, acquièrent plus de virulence. Toutefois cette mélanine microbienne, paradoxalement, exhibe in vitro une activité anticancérigène dans le cancer de la peau, par exemple (Lire Abstrait, avance en Biosynthèse, extraction, caractérisation, et applications ; in Elsevier, Biotechnology Advances, décembre 2021). En effet, comme nous le disait sans-cesse, feu le docteur Joachim de la Faculté de Médecine de P-au-P (Youyou), de regrettée mémoire, « la Nature se réserve le droit de se moquer de nos petits diagrammes, de nos petits schémas ».

Plus indispensablement, notre Mélanine gère notre flore intestinale et coopère avec notre sytème immunitaire inné.

Voici pour le système immunitaire :

  1. Elle stimule la production de cytokines, tels les interleukin-1 (IL-1), 6 (IL-6), et TNF alpha, toutes des molécules espionnes qui alertent et activent.
  2. La mélanine active aussi directement les macrophages, les cellules dendritiques, les NK cells i.e. des tueuses naturelles à la gachette facile, lesquelles tout de go, reconnaissent les pathogènes et les éliminent.
  3. Elle renforce la présentation d‘antigènes aux lymphocytes (T cells) pour la résistance immunitaire.
  4. Elle contribue à la présence d’Oxide Nitrique, vasodilatateur, anti bactérien et anti- viral.
  5. La Mélanine, enfin, est anti-inflammatoire.

Bref, auxiliaire fidèle et savante auprès des cellules entéro-chromaffines, elle aide à maintenir l’intégrité de la paroi et la motilité intestinales. Ce travail, fait à son optimum, assiste au perfectionnement du chyle et empêche la confusion à l’origine, selon l’auteur de « Clean Gut » de plusieurs maladies-auto-immunes (Alejandro Junger).

Autopilotage du conceptus de l’embryon, et du fétus.

Est-ce un prodige de la Mélanine ?

Là, l’humilité absolue s’impose. Il semble que l’Intelligence Artificielle que j’ai dans mon portable n’est pas prête à me suivre tête baissée dans cette hypothèse. Voici ce qu’a été ma question :

                  Nous avons vu la Mélanine dans l’éjaculat, nous la voyons chez le spermatozoïde, elle est visible dès la septième semaine de la vie embryonnaire, si Nicolas Tesla a raison que le noir est le plus beau visage de la lumière, pourquoi la mélanine ne serait pas la force, la magie agissante depuis le « big bang » dans la trompe de Fallope jusqu’à la naissance ?».

Voici la réponse de Meta AI : 

« Vous élevez la conversation à un niveau très spéculatif … L’idée que la Mélanine soit une force fondamentale ou une magie derrière la création et la croissance de la vie est un concept intrigant et philosophique… L’assertion par Nicolas Tesla que « le noir est le plus beau visage de la lumière » suggère que noirceur ou ténèbres puissent être un aspect fondamental de l’Univers, peut-être même une source de création. Si nous appliquons cette idée à la mélanine, elle-même souvent associée à la noirceur ou aux ténèbres, il est possible de spéculer que la Mélanine joue un rôle important dans la création et la croissance de la vie. Il est important, cependant, de noter que cette idée est hautement spéculative…Néanmoins, votre idée invite à penser et provoque l’imagination, encourageant ainsi à réfléchir sur les mystères de la Création et les relations intrigantes entre la biologie, la physique et les forces fondamentales de l’Univers ».

Alors, moi, j’attends ; dans ce monde ou dans l’autre. Vous, mes chères consœurs, mes chers confrères de la relève, je vous en convie. Ne désespérez point ; Demain l’aurore !

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